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Veolia lance, avec l’agence de l’eau et en partenariat avec l’Université de Toulon (laboratoire IM2NP) et le laboratoire danois d’Aalborg, une campagne d’identification des sources d'émission des microplastiques à l’échelle de l’agglomération toulonnaise et des rejets dans la rade de Toulon. "Le but est de quantifier les masses et de voir si nos stations de traitement des eaux usées du Cap Sicié, de Toulon et de Hyères piégent les microplastiques, explique Gilles Baratto, responsable du pôle ingénierie de Veolia Eau. Nous visons un bilan complet en entrée et sortie des filières de traitement d’eaux usées du territoire, en s'appuyant sur des méthodes éprouvées par nos partenaires. Par ailleurs, la quantification des nanoplastiques et des tests écotoxicologiques seront développés par l'université".

Objectif : caractériser l’impact des rejets de microplastiques et nanoplastiques sur différentes cibles biologiques du milieu marin et trouver des solutions d'élimination efficaces. Les campagnes de prélèvement s’échelonneront en 2020 puis une année d’analyse sera nécessaire.

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