
Eau des villes, eau des champs : naturellement perméables
Le dernier numéro du magazine de l'agence de l'eau vient de paraître. Son dossier est consacré à la solidarité de bassin entre les territoires urbains et ruraux.
L’eau des villes d'un côté, l’eau des champs de l'autre ? Pas si simple et surtout peu cohérent d’un point de vue économique, écologique, social, tant les interactions entre villes et campagne sont multiples, en particulier dans le domaine de la ressource en eau et de la biodiversité. L’eau ne connaît pas de frontière : lorsqu’elle est protégée en zones rurales, cela sert aussi les territoires urbains. C’est le principe de solidarité amont-aval. Et l’agence est garante d’une solidarité financière afin que tous les territoires disposent de moyens à la hauteur de l’objectif partagé d’une eau de qualité et de rivières vivantes.
Au sommaire également : l’action du Syndicat des eaux des Rocailles et de Bellecombe pour assainir la Vallée verte en Haute-Savoie, les travaux de renaturation du Foron du Chablais Genevois, le contrat de rivière Asse dans les Alpes-de-Haute-Provence, les travaux du Smmar pour lutter contre les inondations dans l’Aude, les opérations de réfection des réseaux d’eau potable dans l’agglomération de Belfort, les travaux de renaturation du Rhône, l’engagement environnemental des vignerons de Trémoine dans les Pyrénées-Orientales, les économies d’eau en agriculture dans le bassin du Calavon et un portrait d’Elie Semoun, humoriste aux mains vertes.
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Les champs précédés de
sont obligatoires.