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Dans le cadre du projet Scirena (lancé en 2014 et financé par l’agence de l’eau et la fondation Veolia), Oceanica prod a amélioré des équipements de prise de vue sous-marine. L’entreprise teste également un logiciel qui facilite le traitement des rushs. Sur une interface web, on peut ainsi détecter la présence des poissons dans les images, on peut aussi les compter. Bientôt, on pourra reconnaître les espèces. "Nous voulons faire gagner du temps aux scientifiques, explique Nicolas Gilbert, d’Oceanica Prod. Pour cela, nous adaptons des techniques de reconnaissance faciale aux poissons. Sauf que sous l’eau, la visibilité est mauvaise et qu’il y a moins de critères de reconnaissance d’une espèce à l’autre. Le projet est ambitieux mais nous progressons !"

© Andromède océanologie