La CNN sous le titre "Radioactive water decontamination", publie un rapport qui certifie le mode avec lequel la technologie innovante purifie de plus de mille fois l'eau des ions radioactifs par rapport à toutes les autres méthodes connues et éprouvées. Un résultat qui, après des mois de tests positifs au Lena (Laboratoire pour l'énergie nucléaire appliquée, dirigé par Andrea Salvini) de l'Université de Pavie, où se trouve le réacteur nucléaire italien le plus important, sera soumis au "test final" entre avril et mai, sur un site du Piémont. L'examen final, qui pourra donner le feu vert pour la production à l'échelle industrielle de "Wow Water", aura lieu dans quelques mois devant de nombreux observateurs internationaux et des chercheurs de départements de physique et de chimie des plus grandes universités.
Pendant des années, l'invention de l'ingénieur Adriano Marin, née comme un banal purificateur d'eau destiné à des villages africains, a été testée en grand secret à des niveaux toujours plus élevés, au fur et à mesure que les résultats étaient décrits comme extraordinaires et sans précédent. Les premiers essais avaient déjà démontré comment l'outil était en mesure de séparer les molécules d'eau, par osmose, de n'importe quel autre élément. Boues, métaux, polluants de toute nature. Mais la surprise, du même inventeur, s'est manifestée quand "la machine" ne s'arrêtait pas moins devant les éléments radioactifs.
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